comme d'habitude, je trouve les loi stupides et mal faites, mais pour une fois, c'est le laxisme que je ne trouve pas normal.
il est de principe en France qu'un fou ne soit pas déclaré responsable de ses action, l'article 803 du code de procédure pénal interdit même le menottage des fous.
quelle ânerie, c'est bien eux qu'il faut menotter en priorité, s'ils se déchiquètent les main dans les menottes, et d'une ça ne fera pas de différence avec les gens normaux qui sont serrés trop fort et de deux, ce sera le choix de ces fous.
je ne vois pas pourquoi un état mental défaillant permettrait à quelqu'un de ne pas être pénalisé, j'irais même jusqu'a dire que c'est un critère aggravant.
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imaginez la scène:
j'ai découpé votre fille sans la tuer, je l'ai mise dans un sac de jute postal et j'ai pris mon bateau et j'ai fait mix entre la pèche au vif et la pêche à la traine avec votre fille qui hurlait dans le sac, je me suis bien marré, mais c'est pas de ma faute, je suis fou.
aaaaaaaaaaaah ba si vous êtes fou ça va alors, j'ai eu peur un moment, mais si vous êtes fou d'accord, ça va.
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bien sur que la prison ne sers à rien et que les garder coute cher.
Mais les relâcher, c'est particulièrement con !!!
voici deux faits divers récent en italique,
et d'un fou
A Paris un homme déclaré pénalement irresponsable en 2006 après le meurtre d'une jeune femme s'est évadé lundi matin d'un hôpital psychiatrique de Niort (Deux-Sèvres), apprend-on de source policière.
Le fugitif, âgé de 43 ans, est passé par la porte en tout début de matinée dans des circonstances encore floues, a-t-on ajouté de même source.
Arrêté en 2006 après le meurtre d'une jeune femme, tuée de près de trente coups de couteaux, l'homme avait été déclaré inaccessible à une sanction pénale et placé dans un établissement psychiatrique.
et de trois
Six jours après leur fuite rocambolesque par les toits, les deux évadés de l'hôpital psychiatrique Sainte-Marie de Nice sont toujours dans la nature. Ces deux hommes ont, en effet, pour l'instant, échappé aux recherches. Et ce, alors que l'un, Charhan Benmaimoun, un braqueur italo-marocain de 37 ans, ayant sévi à Marseille (1), est considéré comme potentiellement dangereux. En fin de peine, il avait été récemment interné après avoir été jugé capable de mettre fin à ses jours.
L'autre, Ismaël Diaby, 19 ans, un Franco-Guinéen purgeait depuis janvier, une peine de six mois ferme pour vol à l'étalage à Nice lorsqu'il a été hospitalisé d'office en raison de « troubles de comportement ».
Ouverture d'une information judiciaire
En fait, alors que l'enquête administrative est achevée (lire ci-contre), les investigations judiciaires vont prendre un nouveau tour aujourd'hui, avec l'ouverture d'une information judiciaire - la saisine d'un juge d'instruction - par le parquet de Nice. C'est ce qu'annonce le procureur Eric de Montgolfier, en expliquant pourquoi un avis de recherches avec la photo des fugitifs n'a pas été diffusé dans la presse comme cela se fait parfois.
Concrètement, les enquêteurs de la PJ de Nice et de Marseille, en liaison avec la brigade nationale de recherches des fugitifs (voir encadré) vont disposer de davantage de moyens, notamment techniques. Le magistrat pourra leur demander, via une commission rogatoire de mettre en place diverses mesures qu'il estimera utile.
En clair, « la traque » va désormais s'intensifier sous la houlette de ce juge d'instruction.
Davantage de moyens
En fait, jusqu'à présent, ce sont des investigations d'urgence qui ont été pratiquées. Dès l'alerte donnée mercredi soir, une diffusion du descriptif des deux fugitifs a été faite auprès des services de police et de gendarmerie du département. Dans la nuit, les recherches ont été étendues à l'Italie par l'intermédiaire du CCPD (centre de coopération policier et douanier) de Vintimille. Car les évadés ont tous deux de fortes attaches en Italie où ils sont nés.
Mais, pour le plus dangereux des deux, Benmaimoun, les investigations sont manifestement aussi ciblées sur Marseille où l'homme s'est installé entre deux séjours en prison.
Comme cela se fait lors de toute enquête de ce type, les policiers se concentrent sur l'environnement des individus. Ils épluchent leur passé, recensent leurs relations, cherchent des points de chute éventuels et traquent leur moindre faille tout en attendant l'erreur qui les conduira dans les mailles du filet.
1. Il a été condamné à 6 ans et 12 ans de réclusion en 1996 et 1999 pour deux vols à main armée au préjudice d'un automobiliste et d'un commerce à Marseille. Théoriquement libérable il y a deux ans, il a multiplié les incidents en détention au point de fréquenter près de 40 prisons en dix ans ! En transit à Nice, il devait partir pour Tarascon.
Nice-Matin
Alors, ils sont peut-être fous, mais ils ne sont pas cons.
en tous cas moins con que le gang des képi,
et encore ceux là se sont démerdé tout seul, mais il n'y a pas longtemps, y'en a un qui a été relaché et qui à de suite planté quelqu'un dans la rue.
'et à coté de ça, on à même pas le droit de se balader avec une bombe lacrymogène sur soi.
enfin si, on a le droit, vu qu'en dessous d'une certaine concentration elles sont autorisé au port. Mais le gang n'écoute jamais, la loi, c'est eux, et eux, ils ont décidé que on ne devait pas en porter.
mais c'est en vente libre, vous avez le droit de l'acheter, mais pas celui de l'avoir, vous pouvez l'encadrer chez vous après, votre bombe cs.